La consommation de café a été identifiée comme un facteur diminuant le risque de cancer de la prostate, mais les résultats post-diagnostique en fonction du métabolisme n’ont pas été bien caractérisés. Une équipe de chercheurs et chercheuses américaine s’est intéressée à cet effet bénéfique en fonction d’un certain profil métabolique, due à une variation d’un nucléotide dans l’ADN. Pour cela, ils se sont basés sur une cohorte de 5727 hommes ayant un cancer de la prostate, formés à partir des patients de sept études états-uniennes, australiennes et européennes.
Leurs résultats ont montré que la consommation de café était associée à une plus longue survie spécifique au cancer de la prostate chez les hommes ayant un certain génotype.
L’équipe précise tout de même que même si leurs résultats sont encourageants, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre les mécanismes à l’œuvre.