Jusqu’ici la recherche avaient déjà établi un lien entre l’influence culturelle, l’environnement, l’âge, le genre… et la consommation de café. Une récente étude américaine a dévoilé cette fois de nouveaux facteurs influant sur notre consommation de café.
Un statisticien du Lawrence Berkeley National Laboratory a étudié 4 788 paires enfant-parent, 2 380 frères et soeurs et leurs habitudes de vie (alimentation, activité physique, traitements médicaux). Il pointe ainsi d’une part un lien entre consommation de café et génétique, et d’autre part l’influence de notre entourage sur nos habitudes.
En effet, il a remarqué qu’une tasse de café bue par jour dans la sphère familiale augmentait la consommation de café des enfants. De même, plongé(e)s dans un environnement de travail où les pauses cafés s’enchaînent, nous avons plus tendance à boire du café nous-même et ce, de façon durable. Outre la forte composante génétique des habitudes alimentaires (le goût pour le café par exemple), le conditionnement, de l’enfance à l’âge adulte, qui nous amène à consommer ou non du café, semble aussi déterminant.