Selon une première étude, l’assimilation du café et les effets en découlant seraient partiellement imputables au gène PDSS2. Ce gène inhiberait la dégradation du café dans l’organisme, expliquant que les personnes avec une plus haute expression de ce gène boivent moins de café.
Une autre étude pointe que les hommes métaboliseraient plus rapidement la caféine par rapport aux femmes. Les hommes ressentiraient en effet l’effet de la caféine plus fortement.
> Lire la suite : https://www.lci.fr/nutrition/palpitations-bouffees-de-chaleur-troubles-du-sommeil-pourquoi-certaines-personnes-ne-supportent-pas-le-cafe-2106328.html