Des chercheurs japonais ont publié une étude dans la prestigieuse revue Neurology. Les résultats indiquent que, quelque soit la quantité de café ingérée, les patients atteints de la maladie de Parkinson ont des taux sanguins de caféine trois fois inférieur à ceux des personnes non atteintes !
Cette différence d’absorption de la caféine pourrait peut-être devenir un marqueur de facteur de risque de la maladie Parkinson et faciliter ainsi le dépistage de cette maladie, pour l’instant difficile à réaliser.
• Etude : Motoki Fujimaki et coll. Serum caffeine and metabolites are reliable biomarkers of early Parkinson disease. Neurology 2018;90:e1-8. doi:10.1212/WNL.0000000000004888